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Guillaume De Kervénoaël

RSE Formations Entreprises
DRH Groupe Herige
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Guillaume De Kervénoaël
Entreprise

La formation participe à notre transformation collective

Comment est né le projet de formation au sein du groupe HERIGE ?

GdK : En 2020, l’arrivée de Benoît Hennaut à la tête du groupe a engagé une profonde transformation de l’entreprise. Porteur d’une ambition forte axée autour de l’humain, de la RSE et du digital, notre président souhaitait aligner rapidement les équipes avec nos enjeux stratégiques, en résonance avec les évolutions sociétales. Cette vision nous a conduits à cultiver notamment l’objectif de devenir une organisation apprenante et à créer HERIGE ACADEMIE. Les parcours construits avec Audencia en sont l’un des piliers.

 

Pourquoi avez-vous choisi Audencia ?

GdK : Insuffler de nouveaux marqueurs culturels au sein d’une entreprise de notre envergure, un groupe multi filiales de 3000 salariés, exige une expertise et une hauteur de vue avérées. Pour répondre à cet enjeu, il était essentiel de s’appuyer sur un partenaire reconnu pour la qualité de ses contenus et dont l’image de marque nous correspond. Nous souhaitions aussi que nos équipes se sentent valorisées par la qualité de la structure et de ses intervenants.

 

En quoi consiste le parcours de formation construit avec Audencia ?

GdK : Il comporte deux dispositifs majeurs. Un parcours « Leaders », programme de quatre mois par session de deux jours, construit autour de la RSE, la stratégie globale, le leadership positif, la performance responsable et durable, ainsi que le management et la transformation ; un parcours « Sprint manager » sur les leviers de la « croissance profitable ».

Comme vous le constatez, la RSE est un axe stratégique déterminant et le fil conducteur du parcours de formation. Au-delà des compétences, ces dispositifs insufflent une transformation en termes d’ouverture d’esprit, de regard sur le monde, de vision évolutive des enjeux des métiers de chacun.

 

Comment l’avez-vous élaboré ?

GdK : Il s’agit d’un véritable travail de coconstruction dans la durée. En trois ans, la compréhension de la RSE, des notions d’impacts positifs et de performance globale a considérablement progressé. Nous avons fait évoluer les contenus avec le niveau de maturité des équipes sur ces enjeux clés.

 

Quels sont les bénéfices pour l’entreprise et les participants ?

GdK : Les avis exprimés en fin de formation sont éloquents sur le niveau de satisfaction des participants. Au quotidien, nous constatons des évolutions de postures et perceptions qui témoignent de leur imprégnation des enjeux clés, d’un plus fort sentiment d’appartenance à l’entreprise et d’une meilleure aptitude à nourrir des réflexions participant à l’innovation nécessaire dans chaque fonction.

 

Extraits de l'Interview de Guillaume de Kervénoaël DRH Groupe Herige et Thomas Baron, responsable développement de programmes sur mesure à Audencia pour Le Journal des Entreprises - Pays De La Loire - Mars 2024.

Marie MOTTE

Formations Apprentissage RSE
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Marie MOTTE
Etudiant
France

De l'école au terrain : Marie partage son expérience

Bonjour Marie, peux-tu nous parler de toi ?

J’ai 24 ans, étudiante au MOS dans la promo 2023/2024, je suis en alternance chez Paris 2024 à Marseille où je m’occupe de la livraison des épreuves de voile et football.

Ce qui caractérise le plus mon parcours et ma personnalité, c’est mon côté aventurière. Après le lycée, j’ai vite filé à l’étranger, j’avais besoin de découvrir une autre culture et de rencontrer des personnes différentes. L’Angleterre, le Chili, la Grèce et l’Espagne sont des expériences qui m’ont grandement impactées, et qui m’ont permis d’affiner mes perspectives de carrière.

Après 5 ans (2018 – 2023) à tout découvrir et essayer, j’ai alors ressenti le besoin de « me poser » et me lancer dans un projet de vie : j’ai réalisé que le sport n’est pas qu’un hobby ou un lifestyle. Retour en France un pays qui offre une qualité de vie unique, avec la perspective de participer à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympique, l’opportunité d’une vie.

J’ai toujours été très sportive, cela me vient de mes parents qui m’ont toujours encouragé à « me bouger ». Pour moi, le sport est intimement lié à la nature, et donc, être dehors, faire de la voile, nager, courir et faire du vélo en montagne. Plus qu’une course à la performance, le sport est pour moi un plaisir et une nécessité, et je pratique de tout, sans être experte sur aucune discipline. Je ne le vois pas forcément négativement, car je trouve aussi important d’être pluridisciplinaire.

Peux-tu nous parler de ton parcours académique/extrascolaire avant le MS® MOS ? Pourquoi as-tu décider de poursuivre tes études avec un Mastère Spécialisé en Sport ?

Partir étudier le management international à l’Université de Bath a été un réel tournant dans ma vie. Au fil de mon cursus, j'ai acquis non seulement des connaissances, mais j'ai surtout grandi : à la fin de mon diplôme j'étais animée par une forte volonté de trouver ma voix et de me spécialiser, plus que de suivre un parcours traditionnel en étude supérieure (à cette époque, je n’avais pas encore conscience de l’existence du business sport). Durant deux années (2021-2023), j'ai exploré diverses voies professionnelles tout en maintenant un rythme de vie sportif. Constatant que mes expériences managériales dans d'autres secteurs ne me satisfaisaient pas pleinement, et que ma passion pour le sport pouvait se refléter dans ma carrière, j’ai réalisé que le management sportif correspondait à mes aspirations. 2 constatations se sont alors imposées : la nécessité de développer mes connaissances du secteur, considéré comme niche, ainsi que de construire une expertise en travaillant sur le terrain. Parmi la plus prestigieuse des formations de business sport en France et proposant en plus un parcours en alternance, le MS MOS était alors une évidence.

Jusqu’à présent, qu’est-ce qui t’a le plus marquée au cours de ton année au sein du MS® MOS ? 
  • La bonne entente dans la classe ; même si chacun à un parcours distinct, nous partageons tous la passion du sport, et l’ambiance est très bonne et bienveillante.
  • La diversité des intervenants ; cela dresse un panorama très large de comment est l’industrie et je me rends vraiment compte de la transversalité du sport, et donc des nombreux débouchés professionnels.
  • Le format des cours ; ce sont pour beaucoup des intervenants et non pas seulement des professeurs d’universités, ils sont ici pour interagir avec nous et partager des conseils tout en gardant en tête que c’est un mastère professionnalisant et que l’enjeux est de booster nos carrières.
Quels sont les intervenants/enseignants qui t’ont particulièrement marqué, pourquoi ?

Johann PELLICOT – lors du module « Organisation et Politique du sport ».

J’ai trouvé stupéfiante la position atypique de Johann. Il était extrêmement critique envers le sport et ses différentes gouvernances, notamment envers le CIO et l’organisation des JOP, alors même qu’il a été un élément fondateur dans la candidature de Paris 2024. En même temps il partageait énormément de connaissances et nous encourageait à réfléchir de manière critique afin de « changer les choses » pour le sport de demain.

Ta thèse porte sur les JOP qui ne font plus l’unanimité de nos jours et sur la perception négative du public qui prend le dessus sur les aspects positifs des JOP. Peux-tu nous en dire plus ? Pourquoi as-tu tenu à étudier ce sujet ?

Réalisant une alternance d'une année au sein du Comité d'Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP), je m'investis pleinement dans la livraison et l'organisation des Jeux de Paris 2024 ; ils sont devenus le centre principal de mes réflexions. J’occupe une position inédite car je travaille dans un environnement « pro jeux » alors que les critiques et les doutes du public envers l’évènement semblent prendre de l’ampleur. Cette situation suscite des interrogations et m'incite à réfléchir de manière approfondie aux enjeux et à l’héritage des JOP. En tant que future professionnelle du secteur sportif, il m’est impératif de considérer l'avenir du marché ; je souhaite comprendre si les grands événements sportifs tels que les JOP sont pérennes ou destinés à disparaître, et analyser les demandes et implications pour le marché de demain. Ma réflexion de thèse est née d’une constatation de David Roizen (2023), qui dit que le CIO incite à la pratique du sportwashing à travers la notion d’héritage : « Car in fine, il s’agit bien d’utiliser un événement sportif pour autre chose que le sport ». Ma thèse portera donc sur ce qu’est le sportwashing ; est-il nécessairement mauvais ? Qu’est-ce que l’héritage des Jeux ? Pourquoi avoir intégré cette notion et quel en sera son impact quant à la perception du grand public ? Est-ce que la notion d’héritage légitimise les JOP de Paris 2024 ?

Selon toi, comment pourrait-on améliorer la perception des Jeux Olympiques et susciter à nouveau l’enthousiasme des Français à leur égard ?  

Mon opinion est qu’il y a une dimension très culturelle ; le Français râle et le Français critique beaucoup. Je reste persuadée que dès le lancement de la cérémonie d’ouverture olympique, les plaintes cesseront et les éloges sur la capacité d’accueil et d’organisation de la France seront fortes. Selon moi, une très grande part de la perception (positive ou négative) des Jeux dépend des retombées financières et des conclusions que l’on pourra poser plus tard sur la gestion du budget du COJOP. Enfin, cela dépendra aussi inévitablement des performances de la France au dit Jeux ; si nos athlètes parviennent à rapporter beaucoup de médailles, ou non.

Pour ma part, j’adore l’universalisme porté par les JOP, j’adore ce qu’ils représentent et je souhaite que ces évènements olympiques et paralympiques perdurent dans le monde entier. Je comprends bien que le modèle doit être repensé afin d’être beaucoup plus en accord avec les enjeux RSE d’aujourd’hui. Bonne nouvelle, c’est ce que fait Paris 2024.

Le mouvement sportif porte depuis de nombreuses années des ambitions fortes en matière d’utilité sociale et de responsabilité sociétale, est-ce, selon toi, un sujet qui a une place importante au sein du MS® MOS ?

Je n’ai pas forcément de point de comparaison, mais oui, c’est un sujet qui est essentiel au sein du MS MOS. Dans chaque cours, j’ai eu l’impression qu’une dimension sociale et sociétale est donnée. Que cela soit en communication et journalisme dans le sport, en économie des organisations sportives ou encore International Strategies in Sport Management. Plus que jamais j’ai l’impression de réfléchir à l’impact social du sport, et je suis d’autant plus convaincue de sa capacité à transformer et à développer les sociétés.

Marie, où te vois-tu dans 5 ans ? Quel serait ton poste idéal ?

Je trouve bien difficile de répondre à cette question, car j’imagine différents scénarios :

Continuer dans l’évènementiel sportif, j’envisage une carrière à l’internationale dans les GESI - entre autres ; les Championnat du Monde de Cyclisme en 2027, World’s Winter Games en 2029, les Jeux d’Hivers en 2030 etc. Je m’imagine avec le rôle actuel de ma boss ; « project manager » au sein d’un comité d’organisation ou du CIO avec de multiples responsabilités (dont manager une alternante).

Sinon une carrière française au sein d’une grande marque : j’imagine faire un passage de 3 ans dans une agence d’évènementiel sportif, sinon de sponsoring avant de travailler comme project manager chez l’annonceur par exemple Pernod Ricard ou Adidas.

Autre chose à nous raconter ?

Le sport c’est génial, et la bonne nouvelle, c’est que le marché n’est pas si bouché et les recruteurs recherchent des jeunes talents comme nous.

Je me permets un conseil auprès des potentiels candidats au MS MOS qui réfléchissent à leurs options : Je trouve important d’accentuer le fait que c’est un Mastère Spécialisé et non pas un Msc (M2). La méthodologie et pédagogie sont spécifiques. La formation se veut professionnelle et professionnalisante, en plus d’être académique. Selon moi, le but n’est pas d’emmagasiner des connaissances comme à l’école mais plutôt de mener à bien des projets comme l’on pourrait exercer un métier dans le secteur du sport.

 

Marie Motte, MS® MOS, Promo 2023-24

 

Management responsable des Organisations Sportives (MS MOS)
Management responsable des Organisations Sportives (MS MOS) en alternance

Happy at School 2024 : Audencia également mise en lumière pour son engagement RSE

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Happy at School 2024 : Audencia également mise en lumière pour son engagement RSE
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En 2024, au-delà du classement global Happy at School et après un Focus Women, c’est le volet RSE d’Audencia qui est valorisé avec une 2e place parmi les Ecoles de commerce françaises.

En effet, ce Focus RSE 2024 porté là aussi par ChooseMyCompany, permet de déterminer quelles écoles / quelles formations ont le mieux répondu aux attentes des étudiants en matière de protection de l'environnement et de justice sociale sur la précédente campagne.

 

Cette 2e place vient souligner l’engagement historique de notre Ecole sur ces notions responsables et le souhait d’aller toujours plus loin pour accompagner ces enjeux majeurs pour la société actuelle comme future.

 

Le classement complet des Ecoles de commerce sur ce Focus RSE 2024 :

  1. Burgundy School of Business
  2. Audencia
  3. Institut Mines-Télécom Business School
  4. TBS Education
  5. Emlyon
  6. IESEG
  7. ESSCA
  8. ESC Clermont Business School
  9. Excelia Business School
  10. ESCP Business School

 

 

Audencia Faux

Slow Fashion Training, la formation gratuite d’Audencia pour une consommation de mode plus responsable

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Transformation RSE de l’entreprise : quelles clefs pour embarquer durablement en interne ?
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Poursuivant ses actions de sensibilisation à une consommation de la mode plus raisonnée et durable, la Chaire Impact Positif d’Audencia lance une nouvelle édition de son programme gratuit en ligne : Slow Fashion Training. Afin de répondre aux enjeux d’une mode plus responsable et dans le but de lutter contre la « fast fashion », les inscriptions à la prochaine session du 4 juillet 2024 (11h – 13h) sont ouvertes.

 

Une prise de conscience mondiale

A l’approche du Fashion Revolution Day, impossible de passer à côté de ce constat : la mode est une des industries les plus polluantes au monde. Et qui peut parfois tuer. Comme cela a été le cas le 24 avril 2013 lors de l’effondrement d’une usine textile au Bangladesh, provoquant une prise de conscience quasi mondiale.

Dès lors de plus en plus de marques ont commencé à se tourner vers des pratiques plus responsables et durables en matière de production et de consommation de vêtements. Et l’on a également pu observer des changements de mentalité et d'attitude envers la mode : les consommateurs se questionnent davantage, ils recherchent plus de transparence sur la provenance de leurs vêtements et exigent désormais des pratiques plus éthiques.

 

Former le plus largement à la mode responsable

Face à cette (r)évolution, la Chaire Impact Positif d’Audencia soutient activement la promotion d’une mode plus responsable avec une formation gratuite de 2h, enseignant les bons réflexes à adopter :  Slow Fashion Training.

Depuis 3 ans, près de 450 personnes (grand public, étudiants, lycéens…) se sont inscrites au programme. 375 personnes ont déjà été sensibilisées, en participant à l’une des 15 sessions organisées en présentiel ou à distance.

Curieux et connectés, les lycéens se sont particulièrement mobilisés ces derniers mois et la formation a été présentée au sein de trois nouveaux établissements : au lycée de la mode à Cayenne (Guyane), au lycée public de Carquefou auprès des éco-délégués ainsi qu’au lycée de Beaupréau. A cette occasion, le groupe Eram a réalisé une intervention sur la transformation de son modèle économique. Celle-ci a été précédée de l’organisation d’un défilé de mode dans l’enceinte du lycée.

Comment agir à notre niveau ? En prenant conscience des impacts du secteur, en décryptant nos comportements d’achat, et en découvrant des pratiques plus durables, afin que chacun participe à son échelle à l’effort national et mondial vers une mode plus durable, et sache diffuser les bonnes informations. C’est ce que propose ce module gratuit de 2h.

 

Une formation conçue avec un comité d’experts du secteur

Slow Fashion Training combine les expertises de la Chaire Impact Positif d’Audencia avec celles de spécialistes du secteur de la mode ainsi que deux étudiantes de l’école. Ainsi, la formation a été conçue en partenariat avec le Groupe ERAM. Un groupe de travail a réuni deux consultantes des cabinets Fashion that Cares et Vertual, des entreprises de l’économie circulaire comme Second Sew (marque de vêtements pour enfants via l’upcycling), le collectif Emergence (qui rassemble des créateurs de mode et accessoires en Pays de Loire depuis 2004), Datakhi (spécialisée dans les données), B-Side (agence spécialisée en Responsabilité Sociétale des Entreprises), KPI 4 Change.

Avec cette formation, l’école souhaite mettre à disposition ses enseignements au grand public, comme elle le fait déjà depuis 2017 avec la formation gratuite #NégoTraining (négociation salariale). Fidèle à cet engagement citoyen et en faveur de la transition écologique et sociale, le module gratuit sera proposé deux fois par an au grand public. La Chaire souhaite également le diffuser plus largement au sein des lycées en formant des enseignant.e.s.

Pour s’inscrire à la prochaine session qui aura lieu en ligne le 4 juillet (11h – 13h), il suffit de se rendre sur cette page d’inscription.

Vous n’êtes pas disponible le 4 juillet ? Cliquez ici pour vous inscrire sur liste d'attente et recevoir les invitations aux prochaines sessions.

Audencia Newsroom Faux

MOOC #Négotraining : Bilan

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MOOC #Négotraining : Bilan
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Le 17 janvier 2024 marquait le lancement du MOOC #Négotraining par la chaire Impact Positif d'Audencia sur la plateforme FUN MOOC de France Université Numérique.

Jusqu'alors exclusivement proposé sous forme d'ateliers de 3 heures en présentiel ou à distance, le dispositif #Négotraining devient accessible à un plus grand nombre, en ligne et à un rythme propre à chacune.

La session MOOC désormais clôturée, il est temps d'en faire le bilan

En quelques chiffres :

  • En 2 mois, autant de femmes ont été formées qu'en 1 an via les ateliers de 3 h,
  • 536 femmes ont validé le MOOC (ont suivi l'ensemble de la formation et sont éligibles à un badge numérique),
  • 5 355 participantes actives ont été enregistrées (ont suivi une partie des contenus du MOOC).

Une prise de confiance fructueuse :  

La prise de confiance des femmes dans leurs capacités à négocier a bondi après le MOOC : alors qu’elles n'étaient que 6% à se déclarer confiantes, elles sont 75% à l'issue du MOOC.

Et après ?  

C'est un bilan très positif qui encourage à renouveler l'expérience. Une prochaine session de formation est prévue à partir du 15 mai 2024 pour continuer à lutter contre les inégalités professionnelles F/H et donner aux femmes les clés d’une négociation réussie.

S'inscrire au MOOC NégoTraining

 

Chaire Impact Positif Faux

La chaire récompensée à la conférence académique IPSERA 2022

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La chaire récompensée à la conférence académique IPSERA 2022
RSE 1783095101545775104

La chaire récompensée à la conférence académique IPSERA 2022 pour son article "Explorer les compétences futures des achats pour une meilleure contribution à la RSE et à l'innovation".

Explorer les compétences futures des achats pour une meilleure contribution à la RSE et à l'innovation
Premier prix de la conférence académique IPSERA 2022

Thomas Johnsen et François Constant, titulaires de la chaire Achats et Innovation Digitale ont gagné le premier prix de la conférence académique IPSERA 2022, à Jönköping en Suède grâce à leur article "Explorer les compétences futures des achats pour une meilleure contribution à la RSE et à l'innovation". L'article a été co-écrit également avec Philip Beske-Janssen et Andreas Wieland.

Basé sur une étude itérative auprès d'une centaine de directeurs achats, l'objectif de l'article est d'identifier quelles nouvelles compétences les acheteurs vont devoir acquérir dans la prochaine décénie, pour mieux contribuer à la RSE et à l'innovation. Des interviews d'experts aux plus hautes responsabilités dans les achats ont partagé leurs points de vue: nous avons consolidé et hiérarchisé ces futures compétences.

Bravo à eux, c'est une reconnaissance de leur travail sur le projet Periscope financé par l'UE ERASMUS+.

Contactez-nous pour en savoir plus !

Faculté & Recherche Chaire achats et innovation digitale Faux

Atelier "Entrepreneuriat : responsable et rentable"

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RSE
RSE Entrepreneuriat
16h - 18h
Le Village by CA - 117 rue de la Garde 44300 Nantes
Atelier "Entrepreneuriat : responsable et rentable"
gratuit sur inscription

Piloté par la Chaire Impact Positif d'Audencia dans le cadre de la Plateforme RSE de la métropole nantaise, en partenariat avec les Sup’porteurs de la création 44, le groupe de travail “RSE dès la création” a donné lieu à la conception d’un module de sensibilisation à la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) pour éclairer les créateurs d’entreprises sur le sujet.

Les objectifs sont :

  • D’inspirer en partageant des bonnes pratiques issues des “pépites" du territoire
  • D’outiller afin de faciliter la démarche de structuration de sa stratégie RSE
  • De permettre un temps de réflexion et d’idéation autour d’une stratégie plus vertueuse
  • D’échanger avec des entrepreneurs

Gratuit sur inscription

Chaire Impact Positif : KPMG France renouvelle son soutien

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Chaire Impact Positif : KPMG France renouvelle son soutien
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Grand mécène de la chaire Impact Positif depuis 2014, KPMG France poursuit son partenariat avec Audencia pour 4 ans. Le leader de l'audit et du conseil soutiendra ainsi des projets de recherche liés à la Responsabilité Sociétale des

Ce partenariat a pour objectif de développer des projets pédagogiques et de recherches ayant un impact positif sur les entreprises et la société et faire de l’engagement social et environnemental un levier d’innovation et de performance. Au programme, la réalisation de nouvelles études sur l’égalité femmes – hommes et les stéréotypes de genre. »

précise André Sobczak, Délégué Général RSE d’Audencia, et co-titulaire de la Chaire Impact Positif.

KPMG, entreprise leader de son secteur, s’appuie en effet sur le succès d’initiatives telles que #NégoTraining, la formation gratuite à la négociation salariale portée par la Chaire, et qui a déjà permis de former plus de 3 000 femmes, agissant ainsi concrètement en faveur de l’égalité femmes-hommes. Cette collaboration a également permis d’établir un baromètre de l’égalité en 2019. L’ensemble de ces actions viennent compléter l’accompagnement de KPMG France sur ces sujets auprès d’entreprises au niveau national comme régional, des grandes entreprises aux PME. Par ailleurs, les travaux réalisés avec la Chaire alimentent la politique interne du cabinet en matière d’environnement, de diversité et de rôle citoyen, notamment via la Fondation KPMG.

Plus récemment, la Chaire a réalisé avec l’entreprise un guide des bonnes pratiques RSE de KPMG en France. Il présente des initiatives responsables dans les champs sociaux et environnementaux : promotion de la diversité, ouverture sociale, entrepreneuriat / intrapreneuriat inclusif, ou encore numérique responsable et label B-Corp.

Prochainement, la Chaire diffusera également, avec le soutien de KPMG France, les résultats d’une nouvelle étude portant sur les choix d’orientation des étudiants et étudiantes et le poids des stéréotypes de genre, qui ont un impact sur la mixité des métiers.

Depuis 100 ans, nous accompagnons nos clients dans tous leurs enjeux, pour les aider à se transformer et à affirmer leur leadership durable dans un monde en perpétuelle mutation. Notre rôle est de les guider dans ce nouveau cycle de développement basé sur l’utilité sociale, le sens et le bien commun. Partenaire de confiance, nous sommes heureux de renouveler notre collaboration avec la Chaire Impact Positif d’Audencia dans l’optique d’accompagner notre écosystème dans leur transformation positive  en les aidant, via les différents projets, à détecter de nouveaux gisements d’innovation, de croissance et de création de valeur responsable »,

souligne Laurent Geoffroy, membre du Comité Exécutif, Directeur des Ressources Humaines.

* De gauche à droite sur la photo : Alexandre Derey (Responsable des partenariats Audencia), Françoise Marcus (Déléguée de la Fondation Audencia), Cyprien Schneider (Associé Audit KPMG Ouest), André Sobczak (co-titulaire de la Chaire Impact positif Audencia), Florence Touzé (co-titulaire de la Chaire Impact positif Audencia), Marie-Emilie Anquez (Senior Manager Actions Ecoles et Marque Employeur KPMG France), Laurent Geoffroy (DRH groupe KPMG France), Christophe Germain (Directeur Général Audencia), Vincent Broyé (Associé Audit KPMG Ouest), Gwenaëlle Valenta (Responsable RH KPMG Ouest), Alexandre Demars (Directeur Marketing et Développement KPMG Ouest), Bouchra Aliouat (Secrétaire Générale de la Fondation KPMG France).

 

À propos de la Chaire Impact Positif

La chaire Impact Positif (anciennement chaire RSE) d’Audencia a été créée en 2012. En co-construisant des recherches utiles avec ses partenaires, elle produit et diffuse des connaissances permettant d’intégrer les principes de la responsabilité sociétale au cœur des modèles économiques, des stratégies et des pratiques de management des entreprises, afin de renforcer la performance des entreprises et leur capacité à innover. La chaire Impact Positif anime également des séminaires ou formations et crée des outils opérationnels pour accompagner les entreprises dans l’amélioration continue de leur démarche RSE, notamment en proposant des comparaisons nationales et internationales ou en favorisant l’échange avec d’autres parties prenantes. Retrouvez la chaire Impact Positif sur impact-positif.audencia.com.    

 

À propos d’Audencia

Fondée en 1900, Audencia se positionne parmi les meilleures écoles de management européennes. Elle est accréditée EQUIS, AACSB et AMBA. Première Ecole de Management en France à adhérer à l’initiative Global Compact des Nations Unies, également signataire de leurs Principles of Responsible Management Education, Audencia s’est très tôt engagée à former et accompagner des managers innovants et responsables, dotés de compétences hybrides, qui contribuent positivement aux grands enjeux auxquels nos organisations, nos sociétés et notre planète, sont confrontées. Audencia a également créé Gaïa, la toute première école au sein d’une business school dédiée à la transition écologique et sociale. En co-création avec ses parties prenantes, Audencia produit et diffuse des connaissances qui ont un impact sur la littérature scientifique, le contenu de ses formations, les pratiques des entreprises et la société dans son ensemble. Elle contribue ainsi aux trois défis majeurs suivants : la création et l’utilisation de technologies et d’information responsables, la définition et l’adoption d’approches managériales favorisant des organisations et des sociétés inclusives et la conception et la mise en œuvre de modèles d’affaires et de développements soutenables. Audencia propose des programmes en management et en communication allant du bachelor au doctorat.  Elle a signé des accords avec 212 institutions académiques à l’étranger, et plus de 180 entreprises nationales et internationales. Elle accueille plus de 6700 étudiants, dispose d’un corps professoral de 148 enseignants-chercheurs et d’un réseau de plus de 30 000 diplômés. Pour en savoir plus, consultez le site Internet : www.audencia.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux : Twitter @audencia.

 

A propos de KPMG France

KPMG France, Leader de l’Audit et du Conseil, réunit 10 000 professionnels dédiés à la performance économique et financière des institutions et des entreprises de toute taille, dans tous les secteurs. KPMG apporte à ses clients la puissance d’un réseau mondial pluridisciplinaire à travers 146 pays et se singularise par son maillage territorial grâce à ses 200 bureaux en France.
AUDIT – CONSEIL – EXPERTISE COMPTABLE – DROIT ET FISCALITE -
www.kpmg.fr

 

Chaire Impact Positif Faux

Jeunes face aux violences sexistes : parler, agir et réagir

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RSE
RSE
18h30/20h30
Salle Paul Fort à Nantes
Jeunes face aux violences sexistes : parler, agir et réagir

Les jeunes sont les premières victimes des violences sexistes et sexuelles.
Sur le territoire nantais, quel constat dresser ? Qu’est-ce que les jeunes racontent de leurs expériences ? Quelles solutions pour agir et réagir, individuellement et collectivement ?
Pour en échanger, la Ville de Nantes organise une conférence-débat destinée aux jeunes, aux parents, aux professionnels et professionnelles qui les accompagnent.

En présence de Mahaut Bertu, adjointe à l’égalité, à la ville non-sexiste et à la lutte contre les discriminations à la Ville de Nantes, Alexandra Benhamou, fondatrice de LadydeNantes et autrice de l’enquête « Aux Filles du temps » et Diariata N’Diaye, directrice de Resonantes.

Conférence-débat animée par Pascal Massiot de Pop’Média et ponctée par La Belle Boite. Elle est traduite en langue des signes et accessible aux personnes à mobilité réduite.

Dès 17h, visite libre des expos Fais pas genre de l’association Resonantes et Aux filles du temps de LadydeNantes au Pannonica.

Un temps convivial est proposé à l’issue de la conférence pour prolonger les échanges (sous réserve du contexte sanitaire).

Enquête : Mieux comprendre la quête de sens au travail

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Enquête : Mieux comprendre la quête de sens au travail
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Audencia et jobs_that_makesense, la première plateforme d’offres d’emploi à impact, publient une étude quantitative sur le sens au travail, menée auprès de salariés et d’étudiants. Elle révèle notamment que 92% des actifs ayant répondu s’interrogent sur le sens de leur activité, et permet de définir quelles notions se cachent derrière cette quête de sens. Parmi les actifs préoccupés par cette question, plus de 4 salariés sur 10 ont même déjà entrepris une transition professionnelle. Celle-ci prend diverses formes, mais se heurte aussi à des freins, notamment financiers.

Que signifie concrètement la quête de sens au travail ? Est-elle une réponse aux crises sociétales et écologiques, à un besoin de se sentir utile aux autres ou à transformer le monde ? Qu’attendent les actifs de leur employeur pour y répondre ? L’étude de la Chaire Impact Positif d’Audencia en collaboration avec jobs_that_makesense permet de mieux cerner les attentes, les moteurs des actifs et de ceux qui ont déjà entamé une transition professionnelle, mais aussi les freins qui empêchent parfois d’aller jusque-là pour assouvir sa quête de sens.

 

Définir le sens au travail : une quête quasi unanime et liée à la responsabilité sociale et environnementale

La notion de quête de sens au travail est constamment utilisée, et de façon amplifiée par la crise sanitaire. Une étude réalisée par Factorial avec l’institut OpinionWay révélait en octobre dernier que 33% des Français déclaraient avoir perdu tout sens en leur activité professionnelle depuis le début de la crise*. L’étude Audencia X jobs_that_makesense confirme que le sens au travail est une préoccupation pour 92% des répondants :

  • 50% se posent des questions
  • 42% ont même déjà entrepris une transition professionnelle

Mais qu’entendent-ils exactement quand ils affirment ainsi être en « quête de sens » ?

  • La signification la plus citée est la volonté de « contribuer aux enjeux de la transition écologique et/ou sociale » (pour 57% des répondants),
  • suivie par le besoin de « se sentir utile » (53% des répondants).
  • Le troisième sens concerne à nouveau la dimension responsable : « appartenir à une organisation à impact positif sur la société et/ou la planète (Economie Sociale et Solidaire, RSE) (42% des répondants).
  • On ne retrouve que pour 37% des répondants le besoin de « concilier vie professionnelle et vie personnelle ».

Interrogés sur les éléments déclencheurs de leur quête de sens :

  • 81% des répondants citent « le besoin de cohérence avec leurs valeurs et convictions personnelles ».
  • Plus les répondants avancent dans leur carrière et vieillissent, plus le « désaccord avec les pratiques managériales » pèse comme un élément moteur de leur quête de sens : alors que 38% le citent tous âges confondus, le chiffre monte à 44% pour les 35-44 ans et jusqu’à 56% pour les 45 ans et plus.

La quête de sens semble donc faire écho à une prise de conscience plus globale des grands enjeux planétaires et une volonté collective de passage à l’action, mis en exergue à travers la crise sanitaire, et qui résonne après le cri d’alerte des experts du GIEC à l’été 2021 dans leur dernier rapport, ou encore la COP 26 de novembre, considérée majoritairement comme un échec des leaders mondiaux à s’accorder sur un pacte très éloigné des ambitions initiales. Il n’est donc pas surprenant que l’étude montre que les répondants qui travaillent dans le secteur associatif, dans l’ESS ou dans une entreprise engagée en RSE, aient moins tendance à se poser de questions concernant la quête de sens au travail, considérant davantage l’avoir trouvé que les actifs des autres secteurs.

 

La transition professionnelle : des solutions variées en réponse à la crise du sens

Parmi les 42% de répondants ayant entamé une transition professionnelle, on constate que pour 8 sur 10, elle passe par un changement d’organisation car :

  • 40% sont allés jusqu’à la reconversion, en entamant une formation puis en changeant de structure pour exercer un nouveau métier. Ce choix de la reconversion est plus fréquent chez les 35-44 ans (60%).
  • 23% ont changé d’organisation. Cette solution à la quête de sens est également plus présente chez les jeunes (50% des 18-24 ans).
  • Mais la quête de sens peut aussi être satisfaite au sein de la même organisation : 18% ont « simplement » changé de poste (sans formation préalable).
  • Enfin, pour 18%, la transition professionnelle a pris la forme du lancement dans l’aventure entrepreneuriale.

97% des répondants sont satisfaits de leur transition professionnelle, même si pour 58% d’entre eux, cette satisfaction va de pair avec une remise en question qui persiste, probablement parce que la notion de sens au travail est plus primordiale pour eux et guide davantage leurs choix tout au long de leur carrière.

 

Le cap de la transition professionnelle freiné par la dimension économique

Pour ceux qui n’ont pas encore sauté le pas de la transition professionnelle, les freins sont principalement financiers :

  • la perte potentielle de revenu (pour 52% des répondants)
  • mais aussi le coût lié à la transition professionnelle (inactivité, financement de la formation) (pour 39% des répondants)
  • 3 répondants sur 10 estiment aussi avoir un besoin d’accompagnement dans la démarche
  • 29% estiment manquer de compétences ou d’expérience professionnelle
  • Enfin, 27% sont freinés par la peur du changement

 

Des clés d’action pour les entreprises afin de retenir leurs talents

  • Le critère principal du choix de l’emploi actuel reste l’intérêt pour la mission, cité à 71%. Une dimension indispensable en début de carrière (91% des 18-24 ans).
  • On retrouve ensuite l’impact positif sur la société et/ou la planète pour 54% des répondants. Davantage sensibilisés à ces questions dès leur jeune âge, les 18-24 ans sont même 66% à mentionner ce critère.
  • Naturellement, l’acquisition de compétences est plus recherchée en début de carrière (63% des 18-24 ans contre 48% des répondants)

A contrario, la situation géographique (33%) et le niveau de rémunération (23%) sont des critères secondaires, même pour les plus jeunes générations.

Si la transition professionnelle passe principalement par un changement d’organisation, en revanche, 62 % des répondants à l’enquête jugent qu’il n’est pas nécessaire de changer de structure pour trouver du sens. En effet, ils sont aussi 58% à considérer que le sens dépend plutôt du métier exercé. Pour autant, 45% des répondants pensent que le sens au travail ne peut se trouver que dans des organisations engagées (impact positif / RSE, ESS, association).

Ainsi, les répondants attendent des entreprises les trois actions prioritaires suivantes pour faciliter le sens au travail :

  • Renforcer leur impact positif sur la société et/ou la planète (58% des répondants, et 65% des 18-24 ans) 
  • Etre exemplaires par rapport à leurs engagements (38% des répondants, et les 45 ans et plus, davantage regardants vis-à-vis de la gouvernance de leur entreprise, citent ce critère à 46%))
  • Permettre une flexibilité du temps de travail pour 36% des répondants. Un critère probablement impacté par de nouvelles habitudes de travail depuis la crise Covid-19, et davantage cité par les 25-34 ans (44%), qui ont à cœur de maintenir également un bon équilibre vie professionnelle – vie personnelle à un âge qui rime souvent avec la parentalité et la gestion d’enfants jeunes.  

 

L’enquête a été réalisée via un questionnaire en ligne administré en décembre 2021, via le site de jobs_that_makesense, les réseaux sociaux, et envoyé par mail aux communautés Audencia/JTMS. 957 personnes y ont répondu :

  • 93% d’actifs (salariés, entrepreneurs ou en recherche d’emploi) et 7% d’étudiants
  • 7 répondants sur 10 (71%) ont entre 25 et 44 ans. 
  • 81% sont des femmes
  • 92% ont au moins un bac+3 (92%) et les ¾ des répondants ont un bac+5 et plus.  
  • 58% sont des cadres
  • 48% des répondants travaillent dans une organisation du secteur associatif, de l’ESS (Economie Sociale et Solidaire), ou qu’ils considèrent comme fortement engagée en RSE 

Une étude qualitative publiée à l’automne 2022 viendra compléter cette enquête quantitative.

 

La notion de sens au travail est très utilisée, et beaucoup d’études s’interrogent sur les facteurs de motivation et le rapport au travail, mais nous souhaitions réaliser une étude avec jobs_that_makesense qui permette de lever le voile sur ce que les répondants entendent vraiment par la quête de sens. Elle a permis de confirmer le lien de plus en plus fort avec la notion d’impact positif des entreprises sur les enjeux de la transition écologique et sociale et permet aux employeurs de mieux cerner les attentes de leurs salariés. » 
André Sobczak, Co-Titulaire de la Chaire Impact Positif d’Audencia

 

Grâce à cette étude menée avec la Chaire Impact Positif d'Audencia, nous comprenons mieux ce que chaque individu met derrière la notion de sens, et les principaux freins à lever pour favoriser cette transition professionnelle vers des métiers compatibles avec la transition écologique et sociétale. Cela nous conforte dans notre mission d'accompagner tous ceux qui souhaitent donner plus de sens à leur travail, en leur proposant des emplois à impact, des formations pour faire le point et se reconvertir, et des contenus pour les guider dans leur transition. » 
Fabien Sécherre, responsable marketing et partenariat chez jobs_that_makesense

Cliquez ici pour lire le rapport d'étude complet.

 

À propos de jobs_that_makesense

jobs_that_makesense est une initiative de l'association makesense pour promouvoir l'emploi à impact positif. Depuis 2014, la plateforme réuni tous ceux qui veulent mettre leur vie professionnelle au service d’une société inclusive et durable : entrepreneurs passionnés, acteurs engagés de l’économie sociale et solidaire, organismes de formation pour les métiers de demain et candidats talentueux en quête de sens. La plateforme regroupe des offres d'emploi, des formations et des contenus pour aider à orienter sa carrière vers la transition écologique et sociétale. Avec près de 500 000 visiteurs uniques en 2021, plus de 2 000 recruteurs inscrits et des dizaines de formations référencées, le site est aujourd’hui la référence de l’emploi à impact positif.

 

À propos d’Audencia

Fondée en 1900, Audencia se positionne parmi les meilleures écoles de management européennes. Elle est accréditée EQUIS, AACSB et AMBA. Première Ecole de Management en France à adhérer à l’initiative Global Compact des Nations Unies, également signataire de leurs Principles of Responsible Management Education, Audencia s’est très tôt engagée à former et accompagner des managers innovants et responsables, dotés de compétences hybrides, qui contribuent positivement aux grands enjeux auxquels nos organisations, nos sociétés et notre planète, sont confrontées. Audencia a également créé Gaïa, la toute première école au sein d’une business school dédiée à la transition écologique et sociale. En co-création avec ses parties prenantes, Audencia produit et diffuse des connaissances qui ont un impact sur la littérature scientifique, le contenu de ses formations, les pratiques des entreprises et la société dans son ensemble. Elle contribue ainsi aux trois défis majeurs suivants : la création et l’utilisation de technologies et d’information responsables, la définition et l’adoption d’approches managériales favorisant des organisations et des sociétés inclusives et la conception et la mise en œuvre de modèles d’affaires et de développements soutenables. Audencia propose des programmes en management et en communication allant du bachelor au doctorat.  Elle a signé des accords avec 212 institutions académiques à l’étranger, et plus de 180 entreprises nationales et internationales. Elle accueille plus de 6100 étudiants, dispose d’un corps professoral de 148 enseignants-chercheurs et d’un réseau de plus de 30 000 diplômés. Pour en savoir plus, consultez le site Internet : www.audencia.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux : Twitter @audencia.

 

À propos de la Chaire Impact Positif

La Chaire Impact Positif d’Audencia a été créée en 2012. En co-construisant des recherches utiles avec ses partenaires, elle produit et diffuse des connaissances permettant d’intégrer les principes de la responsabilité sociétale au cœur des modèles économiques, des stratégies et des pratiques de management des entreprises, afin de renforcer la performance des entreprises et leur capacité à innover. La Chaire Impact Positif anime également des séminaires ou formations et crée des outils opérationnels pour accompagner les entreprises dans l’amélioration continue de leur démarche RSE, notamment en proposant des comparaisons nationales et internationales ou en favorisant l’échange avec d’autres parties prenantes. Retrouvez la Chaire Impact Positif sur impact-positif.audencia.com.

 

*Étude réalisée en octobre 2021 par l’institut OpinionWay pour la start-up espagnole Factorial, auprès de 1051 personnes représentatives de la population française de 18 ans et plus.

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